mercredi 29 juin 2011

Y en aura-t-il que pour Aliz ?


Mais non, Marie-Ève, ne t'inquiète pas, je pense à toi aussi... Le sac (tuto SAKATOU ) et le bracelet sont pour toi !




Ce bracelet est volontairement très grand, Marie pourra le rapetisser comme bon lui semble.


Sinon, tout est prêt, et le sakatou est bien plein ! La fameuse couverture de voyage --taille 2-- a peine à y loger ! En passant, on peut trouver le tutoriel de cette couverture sur Les moutons de Kallou.
Elle semble bien grande cette couverture... En tout cas trop grande pour la plus grande de nos poupées !

mardi 28 juin 2011

La bête en voie d'être domptée

La voici la fameuse Singer Ultralock (14U454B) prêtée à très long terme par ma chère cousine Claudine ! Celle qui est venue à moi sans mode d'emploi (la machine, pas la cousine, quoi que...)!



Je n'avais jamais touché à une surjeteuse de ma vie. Je savais seulement que ça faisait des bordures bien propres en coupant ce qui dépassait et que c'était difficile à enfiler... Heuseusement, celle-ci est arrivée déjà enfilée ! N'empêche que quand une aiguille est tombée, je ne suis retrouvée fort démunie... Enfin, j'arrive grosso modo à la faire fonctionner, après avoir potassé sur le net tous les manuels des surjeteuses qui semblaient lui ressembler un peu (impossible de trouver le sien !)...

J'ai même fait un premier test, une camisole toute surjetée (je n'ai pas encore réussi à faire la bordure roulottée... Est-ce qu'il y a des surjeteuses qui ne la font pas ?), dos nu, que Simone a adoptée immédiatement. Comme modèle de base, j'ai pris le Brooklyn tank top de Farbenmix (du fantastique livre Sewing clothes kids love, en fait), dont j'ai éliminé le biais et coupé le dos. J'ai aussi mis un peu d'élastique devant et derrière l'encolure qui baillait légèment.


Je sens déjà qu'on aura bien du plaisir la surjeteuse sans papier (au moins elle a un nom ; les filles l'ont baptisée Séphira la surjeteuse Signer) et moi !

Enfin, si quelqu'un qui possède la même bête passe par ici, faites-moi signe, j'aurais quelques questions...

Je ne fais pas que coudre !

Près d'une semaine depuis le dernier billet ! Je ne suis pas très assidue... C'est que je n'avais pas compris combien ça prenait de temps tenir un blog. Enfin, avec le long weekend de la Saint-Jean-Baptiste, si je n'ai pas posté ici,  je me suis tout de même tenue bien occupée.

Pour commencer, j'ai appris à faire des mojitos avec le barman de la Bodeguita à la Havane !


LA RECETTE ORIGINALE  (tirée du site de Habana Club):
Versez deux cuillères à café de sucre dans un verre cylindrique
Ajoutez le jus d'un demi citron vert (assez pour couvrir tout le sucre)
Ajoutez deux feuilles de menthe
Versez deux mesures d'eau gazeuse (9cl)
Agitez bien.
Versez une mesure de rhum Havana Club 3 años (4,5cl)
Ajoutez 4 glaçons
Remuez bien



Puis, en dégustant le dit mojito, j'ai inventé une recette de cupcakes rhubarbe, épices et mousse à l'érable.

C'est le temps de la rhubarbe, c'est bon la rhubarbe, on la mange crue, avec du sel, avec du sucre... Mais 1 kg de rhubarbe ! On en fait quoi ? De la compote.
600 g (environ) de rhubarbe coupée en petits bouts
125g de sucre
un peu d'eau pour ne pas que ça colle au début
On cuit à feu doux, jusqu'à ce que ce soit compoté à notre goût. Voilà.



On voit déjà en arrière plan la suite des choses... Oups !

Ensuite, les gâteaux. En fait, c'est simple, on prend n'importe quelle recette de cupcakes de base (beurre, sucre, oeufs, farine, poudre à pâte, pincée de sel et lait)  et on y ajoute un peu de canelle, de gingembre, de muscade et de clou de girofle moulu.
Quand ils ont été refroidis, à l'aide d'un petit couteau, j'ai enlevé une calotte sur le dessus, j'ai creusé un tout petit peu, rempli de compote et remis la calotte.

Pour couronner le tout, j'avais imaginé un glaçage au fromage à la crème, mais je n'avais pas de fromage à la crème...
Vous saviez que TOUT est fermé à Québec le 24 juin ? Moi, je l 'ai su. Mais je me suis dit qu'avec le petit côté surette de la rhubarbe, une meringue ferait l'affaire (comme avec le citron, non ?). Un peu simple peut-être... Alors j'ai essayé la meringue italienne au sirop d'érable (on m'a ensuite confirmé que c'était la recette de la mousse à l'érable --comme lorsque je crois inventer des drinks, finalement, je n'invente jamais rien, quelqu'un y a toujours pensé avant moi !--) Donc :
125 ml de sirop d'érable et 2 c. de sucre qu'on amène à 110 degré (j'aurais bien voulu le chauffer un peu plus, mais ça restait coincé là...)
3 blancs d'oeufs montés en neige avec une pincée de sel (j'ai ajouté un peu de colorant pour le bonheur rose de Jo)
On verse le sirop en filet dans la meringue en continuant de fouetter et on fouette jusqu'à ce que ce soit refroidi. On  garnit les cupcakes avec une poche à pâtisserie (un sac de lait recyclé dans mon cas !).


Étranges les gâteaux sur le balcon, mais il faisait si gris que nulle part ailleurs je n'arrivais à les photographier...


Les filles ont été ravies ! Des gâteaux roses et des truites (roses aussi) pêchées par Ben !

Quant au reste de la fin de semaine, j'en ai profité pour faire une expédition dans mon village natal avec mes cousines, d'où j'ai rapporté une SURJETEUSE ! (J'en reparle bientôt).

mercredi 22 juin 2011

La petite dernière... et les autres !


Anna

Les filles l'ont baptisée Anna (ou Ana ? elles ne m'ont pas précisé l'orthographe...), c'est une tout petite chose de 20 cm (les poupées Waldorf que je fais d'habitude mesure 42 cm), faite à partir du patron du bébé gigoton du beau livre de Marotte et cie, Doudous et poupées à faire soi-même (disponible dans les bonnes librairies de Québec, le mien vient de chez Pantoute).






















Mais Anna n'est pas une vraie poupée Waldorf; sa bourrure est synthétique. Je préfère la laine cardée, qui se travaille et se conserve mieux, mais je m'approvisionne toujours en matériel pour poupées à Montréal, dans la merveilleuse boutique La Grande Ourse, et je n'ai pas eu l'occasion d'y aller avant de commencer cette petite. Je ne connais pas non plus d'éleveur de moutons dans le coin. Alors voilà. Une fausse Waldorf. Peau mate en jersey bio de la Grande Ourse, corps en chutes de coton d'une robe de Simone déjà montrée ici, et bourrure en matériel synthétique louche de Fabricville.






Pour ceux qui s'inquiéteraient, non, je n'adhère pas aux principes de la pédagogie Steiner-Waldorf (son petit côté ésotérique me fait plutôt frémir), mais j'aime bien ses idées en ce qui a trait aux jouets, que du naturel : bois, laine, coton, cire d'abeille, soie... (Pas de plastique ! Je hais le plastique !) et des univers parfaits pour l'imaginaire de mes cocottes : fées, lutins... et bébés pour Joséphine ! J'aime aussi la cire à modeler qui est une alternative inodore à la pâte à modeler, et elle ne sèche pas.

Mes premières expériences de poupées (des lutins, en fait) étaient faites à partir de collants blancs teints au thé et de bourrure de toutous percés, mais je dois avouer que travailler les matières naturelles est beaucoup plus agréable ! Première tentative de vraie poupée : une choutte (selon le même bouquin), nommée Clémentine.


Le premier des premiers

Clémentine


Et les grandes poupées tiennent le coup ! Charlotte et Marie-Thérèse ont plus de deux ans, ont dormi CHAQUE NUIT dans le lit des filles depuis, nous suivent partout, qu'on soit à pied, à vélo, en autobus ou en train... ont dû prendre leur bain à plusieurs reprises (Charlotte a même déjà eu droit à un pipi de bébé chat sur la jambe...) et me semblent encore pas si mal (bon, Charlotte a perdu beaucoup de cheveux, mais dès que je trouve la teinte juste, je lui en repose un peu).


Marie-Thérèse

Charlotte



Depuis un an et demi, elles ont deux petits (grands) frères qui subissent le même sort : Jérémy et Jacob. À Noël, une autre petite soeur (choutte) dont j'oublie malheureusement le nom (mes filles me traiteront de grand-mère indigne, car, j'oubliais, il parait que je suis la grand-mère de tout ce beau monde !) les a rejoints. Et au fil du temps, un petit lutin ici et là, un poupon pour Elfée, un bébé gigoton pour Léanne... Pour l'instant, on en a une en chantier, la première que je fais avec Jo et Simone, ce sera une fille, elle aura la peau chocolat, pour le reste, je ne sais pas, on verra quand elle sera née !


Jérémy et Jacob

lundi 20 juin 2011

Bébé-fafa !




Simples, simples tenues pour le concert de piano et violon 2011 (samedi 4 juin). En fait, Jo m'a appris le 3 qu'il fallait un nouveau vêtement pour jouer au concert ! Vous aurez compris que cette petite a les idées bien arrêtées, et j'avoue que ça me faisait plaisir... Pas le temps, cependant, pour des robes de gala ! On a acheté 2 t-shirts, les filles ont choisi chacune un tissu (on voit mal celui de Jo ici, mais il est ROSE) et j'ai passé mon vendredi soir à coudre 2 jupes et deux broches en fleurs. C'est bien peu de choses, mais c'est une bonne occasion de vous indiquer 2 tutos à la portée de tous (pour la fleur, ça ne prend même pas de machine à coudre, pour la jupe, c'est tout de même conseillé) : la jupe facile et la fleur en 5 minutes. La fleur est si facile que Joséphine y arrive presque toute seule (à part le solide noeud de la fin) !




dimanche 19 juin 2011

Pour ma petite nièce du bout du monde...




Depuis plusieurs semaines, je couds, petit à petit, les pièces d'un paquet cadeau qui partira pour le Pérou avec ma belle-maman au début juillet. C'est là-bas qu'est née et que grandit ma nièce que je ne connais pas. Le début de sa vie n'a pas été aussi facile qu'on l'aurait rêvé, mais elle va bien et on pense à elle (et à ses parents) souvent. J'ai fort envie de montrer ici ses petits vêtements (pas trop petits j'espère), mais ma Joséphine m'a dit : Maman, c'est un cadeau, il faut garder la surprise pour tante Marie-Ève ! Alors, je ne montrerai pas tout... pas tout de suite. Voici quand même, pour donner une idées des tissus au moins, deux bavoirs (modèle Citronille), taillés dans les chutes.


J'espère que les couleurs te plaisent, Marie ! Quand au beau polar du fond, devine ce que je vais en faire ?


Les tissus (coton, flanellette et polar) viennent encore de Fabricville (il n'y a que ça et Tania pas trop loin du Centre-ville de Québec). Quant aux boutons, ce sont des pressions en résine de Kamsnaps (les mêmes que les Françaises commandent chez Arbrinic, mais pour beaucoup moins cher !).

Cadeaux de fin d'année



Voici-voilà ! 4 cadeaux prêts (2 enseignantes et 2 éducatrices de service de garde obligent) et la fin de l'année peut arriver !


Il s'agit de napperons pour manger à l'école (leur faire penser à la rentrée déjà ?!), avec leurs ustensiles, cousus dans des chutes de tissus et des mètres de biais ! C'était moins facile que je ne le croyais... et beaucoup plus long ! Heureusement, les filles m'ont aidé en coupant tous les fils, et Jo a même peint celui de sa maîtresse.


J'espère que ça plaira... En tout cas, ça va les changer des dizaines de bouquets de fleurs et boites de chocolats.

jeudi 16 juin 2011

Touristes chez soi



Par une chaude journée, on prend un congé improvisé et on va jouer les touristes dans le Vieux à deux pas de la maison. Pour l'occasion, Simone porte sa nouvelle robe Elodie de Farbenmix (celle du patron en allemand) et Joséphine une combinaison-sarouel (patron maison), cousue pour sa soeur l'an passé (donc trop grande pour elle) qu'elle a réquisitionnée sans discussion possible.








La combinaison de Joséphine est inspirée du sarouel Calixte de Citronille. J'avais commandé le patron, il s'est perdu quelque part entre La Poste française et Poste Canada, mais j'ai imaginé la forme à partir des réalisations des citrocopines...















Je n'ai pas mis les photos où Simone fait tourner sa robe; elle tourne tant qu'on voit sa petite culotte, il faudra penser à coudre un bloomer ou un legging coordonné...













































































Un minimum d'effort pour un maximum d'effet

Ici, nous l'avons déclarée le patron de l'été : la robe Studieuse de Her Little World !


Bon, elle n'a de studieuse que le nom, quand on voit comment elle fait danser les filles... Mais en une heure et demie, on trace le patron, découpe le tissu et coud la robe. Son seul défaut ? La quantité de tissu que ça prend pour en faire une version agrandie en 12-13ans pour Simone ! Le plus grand effort qu'elle demande ? Prendre son temps pour poser tout le biais qui borde le tablier. Sinon, elle est parfaite et toutes en sont ravies !


Jasmine, Joséphine (déguisée en poupée Églantine), Simone (dans la cour d'école) et même Marie-Thérèse, Emma et Charlotte (que je vous présenterai plus en détails bientôt) :




Les tissus ? Tous des cotons de chez Fabricville, à l'exception du tissus jaune à coccinelles commandé chez Fabric.com (c'est un tissu d'un designer américain, mais je ne sais plus lequel ... Michael Miller ? Robert Kaufmann ? Si vous le savez, dites-moi-le donc !)

Bon, ce n'est pas tout, il faut que j'aille coudre les cadeaux de fin d'année des maitresses...








mercredi 15 juin 2011

Rien ne se perd

Qu'est-ce qu'on fait d'un maillot dont le tissu est encore beau, mais les élastiques intérieurs tout détruits par le chlore ? Un bikini pour une grande fille de 9 ans qui s'en va en vacances à Cuba dans un mois ! Et tant pis pour les mamans qui ont l'audace de porter du S, vous ne ferez qu'un haut !




Le patron est un patron gratuit offert sur le site de Ottobre Design (http://www.ottobredesign.com/fi/kaavat/index.html), dans la version finnoise, pas anglaise, malheureusement ... mais la couture rend polyglotte ;-), et tout, sauf le fil, les élastiques, la ceinture (une chute de tissu) et un petit bout de doublure dans la culotte, est recyclé de mon vieux maillot; j'ai même profité de certaines coutures déjà faites ! Ça ne revient pas cher le maillot... Mais comme Simone n'était pas sûre de vouloir porter un bikini et que tout le monde me disait que le tissu à maillot de bain ça ne se coud pas sans surjetteuse, je n'ai pas voulu prendre de risque.


Il me semble que c'est pas si mal. Et je suis bien contente d'offrir une seconde vie à ce vieux maillot dont j'aimais bien le motif.





lundi 13 juin 2011

Précurseure du domaine de la mode ?




Non, je n'ai pas manqué le défi Les bottes de caoutchouc, ça va avec tout (un amusant défi que les cousettes de la blogosphère s'étaient lancé au printemps : coudre un vêtement assorti aux bottes de caoutchouc des loulous). Au contraire, je l'ai devancé. La photo date de l'été 2008.



Jo porte une robe de nuit des Intemporels d'Astrid Le Provost (sur le trottoir, rien de plus chic) cousue dans un coton à courtepointe d'une douceur incroyable et qui ne faisait que s'améliorer à chaque lavage (on la regrette beaucoup, mais la mauvaise herbe...), avec bien sûr des bottes de pluie et un chapeau réversible qui n'est pas de moi.




p.s. : Rien de neuf à montrer, mais la ELODIE avance, et il ne me reste qu'à couper les fils d'un maillot de bain (que je ne ferai peut-être pas essayer à Simone aujourd'hui, vu qu'il fait autour de 14 degrés...).

Couture japonaise dans le quartier chinois

Grise, grise journée qui me fait rêver à l'été.. L'été dernier... Les vacances... Aye ! C'est que j'ai bien des archives à montrer encore moi là !




Été 2010, on joue les touristes dans le quartier chinois de Montréal.




Jo porte une tunique inspirée de la tunique à manches raglans des Intemporels pour enfants en fin voile de coton et Simone une tunique à carreaux blancs et rouges du beau livre japonais Simple ans basic... The clothes of the girl, en 140 cm, alors, évidemment, ça ne lui fait plus cette année... (ma géante de 152cm !)



Les leggings ne sont pas de moi, ceux de Jo viennent de chez Clément (des 36 mois achetés quand elle avait 2 ans ! ), ceux de Simone, de chez Blu. Je ne peux pas tout faire ;-)












Pour vous donnez une idée, voici aussi une image de la page d'explication du livre japonais.

dimanche 12 juin 2011

Encore des vieilles affaires



















Le bon côté, quand on se décide à plonger dans la blogosphère après des mois (sinon des années) d'hésitation, c'est qu'on a bien des créations d'avance à montrer... Je pourrais ne pas coudre pendant des semaines et faire tout de même un billet par jour ! Même si je n'ai pas souvent pris de photos, il suffit de fouiller dans les images souvenirs et de choisir les fois où les filles portent des trucs cousus par mes petites mains.




Ici : un anniversaire de Sara-Maya aux Pénates (probablement ses 7 ans) où Véronique avait fait venir une animation avec un jeu gonflable et un poney !




Les deux filles portent des modèles tirés de ce qui a été ma bible pendant les premières années : Les Intemporels pour enfants, d'Astrid Le Provost, publié chez Flammarion. J'avais découvert ce bouquin ainsi que son petit frère (Les intemporels pour bébés) par le biais du blog collectif Je couds Citronille et j'en étais tombée amoureuse. À l'époque, les livres de Citronille n'étaient pas distribués au Québec et je les avais commandés par internet... Je ne vous dis pas combien je les ai payés ! Mais ils sont depuis longtemps rentabilisés : Simone porte encore sa jupe et Joséphine a récupéré le tablier de sa grande soeur. Sans compter tous les autres modèles que j'ai réalisés...




Sur cette vieille photo, Joséphine porte une robe trapèze (entièrement doublée et donc réversible) et un pantacourt dans une popeline grise de Fabricville (la doublure qu'on ne voit pas est dans un magnifique voile de coton de Fabricville aussi ). Quant à Simone, elle a une jupe qui tourne en lin gris pâle et en cotonnade violette avec un tablier Elsie (réversible, un côté fleuri et l'autre de la même cotonnade que le bas de la jupe). Ce fameux tablier Elsie, qui m'a valu tant de compliments, c'était le premier que je faisais, depuis, j'ai dû en coudre une bonne dizaine (sans compter ceux cousus pour les poupées)




Évidemment, il n'y a pas de modification par rapport aux patrons; j'osais moins que maintenant...

vendredi 10 juin 2011

Jo hier




Deux rectangles de tissu, du fil élastique, un élastique pour la taille de la jupe et deux plus longues bandes pour faire les bretelles de la tunique. Vous ne me direz pas que c'est compliqué ?!




Le tissu de la tunique est une chute de voile de coton que j'ai utilisé pour essayer de me faire une robe (qui est trop grande) et celui de la jupe est un morceau d'une vieille jupe paysanne à moi que je ne portais jamais (que pour faire du pain en écoutant les Séguin, hein Marie ?).




jeudi 9 juin 2011

Mon étiquette



J'ai longtemps hésité à commander des étiquettes, puis, un jour, après avoir reçu ma part d'un swap fabuleux, en voyant les étiquettes de ma swappée, j'ai regretté de ne pas en avoir mis sur ses cadeaux. C'est fini, maintenant, toutes mes créations pas trop ratées y auront droit !

Le facteur est passé et m'a apporté :

Du biais à coeurs pour embellir mes créations;



Un beau patron de robe;



Et un petit cadeau surprise; une étiquette petit faon. Merci Farben mix !




Tout ça arrivé vite et par avion !





Et bien sûr pas un mot de français, ni d'anglais... Bonne chance à moi-même, tout est en allemand !